Confidences d’un bénévole vétéran rimouskois

Manteau rouge vif sur le dos, café à la main, sourire aux lèvres, des centaines de bénévoles aident au bon déroulement de la Coupe Dodge un peu partout au Québec. Ici, à Rimouski, nous avons la chance d’avoir beaucoup de bénévoles expérimentés, d’amoureux du hockey qui suivent ce merveilleux tournoi depuis longtemps.
Nous avons eu la chance d’interviewer Richard Lord, un volontaire dévoué depuis longtemps à la coupe. Voici ce que nous avons tiré de ce merveilleux entretien.
Lord en est à sa quatrième Coupe Dodge cette année, mais sa toute première était en 1990. Fan de hockey et joueur à ses heures perdues, c’est avec un grand sourire qu’il nous racontait que « Le hockey mineur a toujours été important pour moi, mes enfants y ont joué et je me suis toujours impliqué dans des tournois... Le hockey mineur, en plus d’être notre sport national, c’est comme une petite école de vie pour les jeunes, on apprend le respect, la passion, le travail d’équipe pis je trouve ça important, donc c’est pour ça que je continue de m’impliquer ».
De plus, à cause de la pandémie, cela faisait 3 ans que la Coupe Dodge n’avait pas eu lieu. En ayant aidé à son organisation, il nous a confié qu’ils ont dû traverser bien des défis pour la ramener, avec les mesures sanitaires, mais qu’il était vraiment ravi qu’elle ait repris.
Nous lui avons finalement demandé ce qu’il souhaitait aux joueurs pour ce tournoi. « Je leur souhaite de continuer d’être aussi bons et inspirants, de faire de l’activité physique, mais surtout d’avoir du plaisir en faisant du hockey. Le M15 AAA relève, c’est les meilleurs joueurs de première année au Québec. Y’en a ici qui vont peut-être jouer au niveau professionnel, on peut juste leur souhaiter de continuer à suivre leurs rêves et d’aimer notre beau sport, tout simplement. », nous a-t-il répondu.
Parce que c’est vrai, tout ce qui nous réunit ici, parents, joueurs, arbitres, staff, bénévoles et public, c’est l’amour du hockey.
Bonne fin de Coupe Dodge
Source: Raphaëlle Boivin et Sarah-Jeanne Marquis